Quand l’image devient symbole.
Bonjour,
chers lecteurs,
ici, à la narration, l’avatar virtuel d’un très bon ami au melon. Je me présente en tant qu’inviter spéciale. Étant son mentor dans le domaine photographique ainsi, je suis l’éditeur virtuel du site Internet The Industrial Spur. Nous allons découvrir ce merveilleux monde de la photographie !
Mais avant, à la demande de notre ami Le melon, allons-y avec une introduction amusante : « Si vous croyez qu’un cactus n’a pas d’œil... détrompez vous : J’en ai des milliers, toujours en veille, comme un photographe guettant son instant décisif. »
Quand l’œil devient mémoire
La photographie,
depuis son invention au XIXe siècle, a façonné notre mémoire collective. Elle est bien plus qu’un simple outil : C’est une extension de notre regard, une seconde rétine qui fige la lumière pour l’éternité.
Sa comparaison entre l’œil humain et l’appareil photo n’est pas que poétique : L’iris agit comme un diaphragme, le cristallin comme une lentille, et la rétine comme une pellicule sensible (pour l’argentique) ou un capteur numérique.
Ce parallèle fascine, car il rappelle que chaque photo, en réalité, est une interprétation, un fragment du monde rendu visible.
Le développement : L’art de capturer l’éphémère.
Notre-Dame-des-Victoires
L’héritage des pionniers
D’abord,
il y eut Nicéphore Niépce et sa première héliographie. Puis Daguerre, qui fit de la photographie un véritable spectacle populaire. Ensuite, Kodak démocratisa l’instantané avec son fameux slogan : « Vous appuyez sur le bouton, nous faisons le reste ». En parallèle, les marques mythiques ont écrit l’histoire technique : Pentax, avec ses boîtiers robustes; Canon et ses innovations en autofocus; Nikon, Leica, Hasselblad... autant de noms qui résonnent comme des légendes dans le cœur des amateurs et des professionnels.
L’œil des grands photographes
Au-delà de la technique,
la photographie est un langage international. Certains photographes en ont repoussé les limites :- Nick Brandt, avec ses portraits d’animaux africains grandeur nature, transformant la faune en icônes intemporelles.
- Les documentaristes de guerre comme Robert Capa, qui ont fixé l’horreur et le courage dans un seul cliché.
- Les maîtres de la lumière comme Ansel Adams, qui ont élevé le paysage au rang d’art sacré.
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La réflexion nocturne d’une ville - Bleu
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La réflexion nocturne d’une ville - Rouge
La photographie au quotidien
De nos jours,
chaque téléphone est un appareil photo de poche. La photographie n’est plus réservée aux professionnels ou aux amateurs équipés d’un reflex1 Pentax ou Canon : Elle est devenue universelle. Des photos de famille aux clichés de voyage, en passant par les millions d’images qui circulent chaque jour sur Instagram, souvent inondées de selfies de bouche de canard et de photos où certains semblent avoir oublié de s’habiller... Au Québec, cela se traduit autant par les portraits de hockeyeurs dans l’aréna du quartier, les paysages hivernaux partagés sur Facebook, que par les festivals estivaux immortalisés par des milliers de cellulaires levés vers la scène. Cette culture visuelle locale s’inscrit dans une mosaïque mondiale où chaque région, chaque communauté ajoute sa propre couleur à l’immense album collectif de l’humanité. Pourtant, derrière chaque cliché, il reste toujours l’œil derrière l’objectif — le regard qui choisit quoi montrer, quoi cacher. C’est ce regard qui confère sa force à la photographie. Bref, nous vivons littéralement dans un océan d’images !-
Quelques photos
Au quotidien,
l’utilisation d’un Pentax ou d’un iPhone avec lentilles Moment a offert l’immortalisation de certains endroits uniques et inoubliables jusqu’aux expérimentations pandémiques. Traitement avec Lightroom Classic & Presets de Mastin Labs / Filmborn + Photoshop. -
La maison d’automne
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Silence, on gèle !
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Sous la jupe d’un disquaire
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Loin de la ville
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Sous la vie
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METAL à tout jamais !
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Coke
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Nuit glaciale
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À l’ombre d’une vieille bâtisse
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La nuit au loin de la ville
L’influence du cinéma
Impossible...
de parler photographie sans évoquer son cousin : Le cinéma. Chaque long-métrage est une succession de 24 photos par seconde, une véritable fresque animée. La composition, la lumière, l’angle, le mouvement de caméra... tout est emprunté à l’art photographique. Ainsi, la photographie devient le langage fondateur du septième art. D’ailleurs, certains réalisateurs, de Stanley Kubrick à Denis Villeneuve, se considéraient d’abord comme des photographes de l’image en mouvement.
Kubrick, par exemple, débuta comme photographe pour Look Magazine avant de révolutionner l’esthétique visuelle du cinéma.
Denis Villeneuve, lui, collabore étroitement avec ses directeurs photo pour sculpter des univers où chaque plan pourrait être encadré comme une photographie autonome.
Ce dialogue constant entre photo et cinéma nourrit l’imaginaire collectif et souligne que chaque image fixe est une graine de narration en puissance.
Quand l’image devient symbole
Une photographie...
peut déclencher une révolution. Rappelez vous la fillette brûlée au napalm au Vietnam, ou encore le baiser de Times Square célébrant la fin de la Seconde Guerre mondiale. Ces images ne sont pas que des souvenirs : Elles deviennent des symboles, elles modifient notre perception du monde. Et parfois, une simple photo d’union, un portrait familiale ou un coucher de soleil peut bouleverser, car elle condense un moment, une émotion, une vie entière dans un cadre. En terminant, une dernière analogie pour notre ami Le melon : « Une photo, c’est une épine dans le temps. Ça pique la mémoire et ça refuse de disparaître. »
À l’ombre d’une métropole
L’aventure continue
La série L’œil derrière l’objectif...
ne fait que commencer. Dans les prochains articles, l’unique personnage, qui est Marcel, prendra le relais. Lui, il n’a pas peur de focuser sur les détails :- Sessions photo sur le terrain.
- Exploration de matériel (boîtiers, objectifs, trépieds).
- Logiciels tels que Lightroom Classic ou les presets de Mastin Labs.
- Histoires drôles, ratées ou inspirantes derrière certaines séances.
- Coup de projecteur sur les photographes tels que Nick Brandt, Robert Capa, Ansel Adams, etc.
Restez branchés : parce qu’au final, derrière chaque image, il y a un œil, une intention... et souvent, une petite étincelle de magie !
Références.
‣ Image : Hiver.
‣ Artiste : Steve Gosselin.
‣ Endroit & technique : Un très bon ami.
‣ Outil : Pentax K20D, Pentax smc PENTAX-DA 18-55mm F3.5-5.6 AL II & Adobe Photoshop Lightroom Classic 8.1.
‣ Détails : Lumière / pression sodium. 18mm | ƒ/11 | 35s | ISO 100.
‣ Texte : Steve Gosselin & Maitre Glitchoni.
‣ Outils supplémentaires : Word v 16.102.2 (25083017), iA Writter v 7.2.18 & Nova v 13.3 (730158).
‣ Artiste : Steve Gosselin.
‣ Endroit & technique : Un très bon ami.
‣ Outil : Pentax K20D, Pentax smc PENTAX-DA 18-55mm F3.5-5.6 AL II & Adobe Photoshop Lightroom Classic 8.1.
‣ Détails : Lumière / pression sodium. 18mm | ƒ/11 | 35s | ISO 100.
‣ Texte : Steve Gosselin & Maitre Glitchoni.
‣ Outils supplémentaires : Word v 16.102.2 (25083017), iA Writter v 7.2.18 & Nova v 13.3 (730158).
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